Snpca-Cgc

vendredi 19 décembre 2014

Déclaration lue par le SNPCA-CGC au CE Siège de France télé, le jeudi 17 décembre 2014 au sujet du projet "Info 2015"

Projet "Info 2015"! 

Pas d’a priori au départ …même stratégique !!!

Nombre de télés en Europe comme la BBC qui a enchainé les plans de licenciements collectifs, ont fait ou font de telles expériences avec des « fortunes diverses » à l’arrivée.

Sauf que là, à France Télévisions, tel que « présenté », c’est NON !!!! 

Faut-il d’ailleurs parler de « présentation » tellement le « projet » que beaucoup qualifient d'usine à gaz (encore une) est incompréhensible. Il s’agit, plus là, d’une organisation économique que d’un vrai projet rédactionnel ! Que faut-il penser de propos de Rémy Pflimlin sur France Inter, le mercredi 17 décembre, dans l’émission « Le Téléphone sonne » : « Le projet de fusion extrêmement important que j’ai annoncé dès 2012 et dont nous séquençons la mise en œuvre, vise à faire en sorte que la production de l’information, c'est-à-dire “quand on fait des reportages, quand on va sur le terrain” puisse bénéficier tout le monde. Aujourd'hui plutôt que d'avoir une équipe qui part pour France 2 et une autre équipe qui part pour France 3 chacun gardant son sujet pour lui, on va mettre les sujets ensemble et on va coordonner tout ça et à partir de là, on va s’en servir pour fabriquer les journaux des chaînes et les enrichir...en développant le site FranceTVInfo premier site d’information toutes chaînes confondues”.

Qu’est-ce que cela peut bien vouloir dire “mettre les sujets ensemble et que chacun ne garde pas son sujet pour lui ? ». N’était-ce pas déjà le cas ???? A entendre cela, chacun pourrait même avoir l’impression que le service de coordination des rédactions France 2/France 3, né en janvier 2010 sous son prédécesseur, n’a servi à rien pendant tout ce temps !
Plus globalement, dans le « projet », à lire les choses en l’état, on a le sentiment que ce serait une énième réorganisation des « coordinations des rédactions » pourtant existantes dans une très grande rédaction pour l’internet !!!

Quid alors de France 2 (spécificité) ? Quid de France 3 ? Où est la connexion avec l’info régionale ?....  Et il ne faudrait pas oublier France Ô là-dedans ? L’une des critiques majeures, faites actuellement: c’est d’avoir complètement abandonné l’info ultramarine et surtout l’info internationale et interrégionale en lien avec les outre-mer alors que l’Ex-RFO était une chance (au plan de l’info notamment !) pour FTV : une présence accrue dans le monde à travers ses implantations sur tous les continents.
Oui l’Outre-mer, ça peut sembler compliqué et ça l’est vu le positionnement des stations sur les cinq continents…mais au lieu de travailler cette dimension, rien n’est vraiment pris en compte jusqu’à passer en pure perte !

Car FTV doit être, de par nature, un lien fort entre cette France hexagonale et ultramarine et le reste du monde et Inversement « faire résonner le monde dans tous les espaces français »…ce que ne cesse de répéter à l’envi les dirigeants depuis ces dix dernières années. C’est un vrai défi, un vrai challenge et une vraie mission de service public or, manifestement ce projet « Info 2015 » n’est pas un projet éditorial, mais un simple et vaste plan d’économies drastiques !

D’autre part, et c’est visiblement là, le grand fantasme des rédacteurs du projet: que les journalistes ne soient finalement que de « bons petits » soldats qui abondent un « serveur », des « multitâches», ce qui équivaudrait à peu-près a déposséder ces femmes et ces de leur pouvoir d’appréciation et tout simplement de la nature même de leur travail de journaliste ! Ils ne sont plus, ni des enquêteurs, ni des chercheurs, ni des professionnels du journalisme qui fabriquent des sujets, des reportages, des enquêtes comme un auteur réalise son roman mais les vecteurs impersonnels alimentant des « bases de données numériques destinées à enrichir et développer le site FranceTVInfo premier site d’information toutes chaînes confondues » (dixit Rémy Pflimlin).

Comment vérifier l’information avec cette vision dévoyée?
Comment être motivé à produire cette info pour celles et ceux qui ne seront que des pions ?
Comment assumer cette information et en être le relai ainsi dépossédé ? Quid du développement des médias de demain ?
Quid des métiers qui vont rester sur le bas-côté de la route comme celui de photographe à qui certains ne cesse de répéter « : il y a longtemps que ça a bougé… et vous vous êtes à la ramasse »?
Quid de la télé connectée ?
Quid de l’interface entre infos en ligne et info sur grand écran ?
Quid des nouveaux supports ?

C’est aussi l’un des gros problèmes du document qui commence par une « photographie » de l’existant mais n’apporte aucune perspective pour demain !

Où sont les spécialistes de l’avenir numérique de FTV ? Ils sont enfermés dans des bureaux, dans une cellule au lieu d’être au cœur de nos rédactions !!!!!!!! Ce n’est pas un truc à part, ce n’est pas un développement en parallèle ou à côté mais un vrai développement simultané, en temps réel car personne n’est capable de prévoir ce qui se passera demain, dans 5 ou 10 ans !
Prenez le travail avec les DSLR (Digital single-lens reflex camera,appareil photo) / avec les drones : nous sommes quelques uns à avoir pris de l’avance… Et vous ne nous prenez pas en compte !!!! Car votre modèle organisationnel est trop complexe, trop lourd, même si nous aussi élus, OS, avons notre part de responsabilité ! Pourquoi pas un nouvel axe pour l’info sur France TV avec une rédaction commune entre internet, tv, radio, web, écrit…mais à condition d’un vrai projet éditorial qui fédère, qui élève…pas qui déstructure nos métiers sous couvert d’une seule exigence : faire des économies !!!!

Quel sens a cette réforme dans ce que l’on propose aux français dans notre mission de service public?

Redisons-le, ce n’est pas un plan économique qui fait un projet éditorial…mais LE CONTENU.

mardi 9 décembre 2014

Déclaration du SNPCA-CGC concernant les Comités des salaires 2014



 Un comité des salaires* à France Télé, pourquoi ? Pour quoi faire ?..
  
Une Chambre d'enregistrement ?... De quoi ? De quoi exactement :


D’une reconnaissances d’un parcours professionnel, humain ?
D’une évolution de carrière ? (En lien avec un investissement personnel dans un Collectif ? En lien avec des formations adaptées, nécessaires, bénéfiques pour le salarié comme pour l’entreprise ?)
D’une reconnaissance d'une évolution dans l'entreprise ? 
D’une sanction suite à des erreurs stratégiques ? De comportement ?
     
Si c’est tout cela, le Comité des Salaires, alors, où sont celles et ceux qui gèrent le travail effectif des salariés (les chefs de service !) pour les entendre eux (!) évoquer la situation de chacun, de leur investissement, de leur professionnalisme, de leur comportement, de leur humanité dans le collectif ? Ou pas ?...

Et bien non, que nenni ! Pas de chefs, pas de responsables de service dans ce Comité des salaires. Uniquement la DRH (la Direction des Ressources Humaines) qui fait ce qu'elle veut en la matière ! Résultat : opacité totale sur la gestion des salariés.

Quand les Organisations syndicales attirent l'attention sur telle ou telle situation, sur tel ou tel salarié, la porte de la DRH est de plus en plus fermée ! Un comble !!!

Les élus interpellent une direction et celle-ci ne prend même plus la peine de répondre !!! Invraisemblable ! Une DRH qui est censée justement INCARNER le dialogue, le respect, l'équité, la reconnaissance, la fraternité dans l'entreprise ! Au lieu de cela, les salariés sont fliqués, montés les uns contre les autres...

Certains au sein de la DRH souhaitent développer une charte du respect dans l'entreprise : le SNPCA-CGC l'a dit et écrit clairement : il la soutiendra à 100 % !!!

Mais qu’est-ce que le respect dans l’entreprise ? Celui de ne même pas répondre aux élus et aux organisations syndicales? Quel crédit les salariés peuvent-ils en conséquence accorder à cela ?

Une fois de plus, quid de ce comité des salaires : Ne serait-ce, une fois encore, qu'une chambre d'enregistrement...de quoi d'ailleurs ?

Une réunion pour que chaque syndicat vienne soutenir ses ouailles à quelques semaines des élections ? Pour que les Organisations Syndicales se gaussent auprès des uns et des autres d'avoir "parler pour elle ou lui" histoire de l’influencer et d’obtenir sa voix ?

C’est justement ce modèle là, précisément, clientéliste, que vous avez dénoncé à l’époque lors des négociations sur le devenir de la nouvelle organisation sociale de l’entreprise... Un clientélisme au détriment du professionnalisme et de l’investissement personnel au sein de chaque entité du groupe...

Dès lors - redisons-le - quel SENS donner à ce comité des salaires ? La direction s’était pourtant répandue en expliquant que cette nouvelle organisation sociale (accord du 23 mai 2013) devait être plus professionnelle, plus efficace et plus juste au service des salariés... On en mesure aujourd’hui les effets...! On peut comparer et jauger la manière managériale de gérer la situation salariale de chacun des personnels. Concrètement : c'est le contraire : l’opacité la plus totale !...



Le paritarisme d’hier avait ses limites mais le modèle d'aujourd'hui est pire. Les nouveaux accords devaient apporter du mieux-disant social... Ce n’est pas ce qui ressort de ce Comité des salaires !

Quant aux documents fournis par la DRH, ils contiennent de bien trop nombreuses erreurs, surtout pour tous ces salariés qui ont connu une ou plusieurs mobilités dans l’entreprise (volontaire ou pas!): un comble !!! Ce sont d’ailleurs, eux, les plus lésés en matière de suivi RH et de salaires.

“Bougez, bougez !”, qu’ils disent...mais au final !!!!!

Les salariés, justement, combien ont répondu à l’invitation de la DRH à donner leur accord pour évoquer leur situation ?... A titre d'exemple: 20 % à peine pour l’établissement de Malakoff...

Par conséquent, 80 % DES SALARIES NE SONT PAS PRIS EN COMPTE !!!!!

Quid des problèmes des retraites des salariés ? Des années ont disparu des listes de la CNAV et de chez AUDIENS... Toujours pas de réponse de la DRH !

Dès lors, le SNPCA-CGC qui n'a pas validé ce procédé qu’il juge totalement arbitraire et à la tête du client, refuse de s’associer à ce simulacre d'exercice, à ce déni de démocratie d’entreprise que cette direction a présenté comme un soi-disant "mieux social" !   

* Une particularité (page 20 de l'accord collectif) qui concerne les établissements DP de plus de 1000 salariés (en fait uniquement l'établissement DP Maison France Télévisions)
 
Dans les établissements (au sens DP) de plus de 1000 salariés, il est institué cinq comités selon le découpage par famille professionnelle ci-après :
- Programmes
- Production - Fabrication - Technologies
- Communication - Marketing - Études
- Gestion d'entreprise et Immobilier et Moyens Généraux
- Journalistes

3 DP (sur 25 titulaires et 25 suppléants) peuvent assister au comité des salaires "programme"
1 seul DP (toujours sur 25 titulaires et 25 suppléants) peut assister au comité des salaires "Communication - Marketing - Études"
8 DP peuvent assister au comité des salaires "Production  Fabrication Technologies"
7 DP peuvent assister au comité des salaires "Gestion d'entreprise & IMG"
6 DP peuvent assister au comité des salaires "Journalistes"


mardi 2 décembre 2014

Patrice Papet cherche-t-il à retarder la publication du rapport du sociologue Henri VACQUIN sur la prévention des risques psychosociaux à France Télévisions?

Patrice Papet, DGARH, cherche-t-il à retarder la publication du rapport du sociologue Henri VACQUIN sur la prévention des risques psychosociaux à France Télévisions?
(comme le laisserait penser le Procès Verbal de la séance du Comité d’Établissement  d’août du Pôle Nord-Est de France Télévisions.

Pour Patrice Papet (*)  le 25 novembre 2014 devant les députés de la Commission des affaires culturelles:  
"Le rapport du sociologue Henri Vacquin à qui une mission sur la prévention des risques psychosociaux a été confiée, est en cours de rédaction..."

Pour Jean-Pierre BENNECHET (Directeur du pôle Nord-Est) en août 2014 au représentant de la cgt:

"Nous avons – je ne dirai pas ensemble, parce que ce n’est pas ensemble – mais nous avons simultanément reçu les analyses d’Henri Vacquin et son équipe sur ce qui se passait chez nous et que nous avons quelque part su en tirer quelque chose"...
 
  soit 3 mois avant ce que raconte Patrice Papet !!!!

Autrement dit, pour Patrice Papet le "rapport" qu'ont eu certains "élus" du pôle nord-est il y a plus de 3 mois, est toujours "en cours de rédaction" !



"...Sur la question des risques psychosociaux, je voudrais dire que nous sommes très attentifs et que c'est précisément une des raisons qui fait que, au début du mandat de Rémy Pflimlin, on a en quelque sorte gelé la réduction des effectifs car nous étions alertés par un certain nombre de situations qui étaient quasiment dramatiques et donc, il nous a paru nécessaire de faire une pause de cette réduction du volume d'emplois, en attendant que, effectivement, les effets de l'entreprise unique permettent de rengager cette trajectoire de réduction dans des conditions plus acceptables.


Sur la questions des risques psychosociaux nous y sommes attentifs; on sort d'une période très difficile de réorganisation de l'entreprise qu'on a dû expliquer et nous avons récemment, en accord avec la commission de prévention des risques psychosociaux dans laquelle se trouvent les syndicats, confié une mission à un sociologue qui s'appelle Henri Vacquin qui ne peut pas être soupçonné de complaisance avec la direction pour voir maintenant comment on peut conforter durablement la prévention de ces risques psychosociaux et nous allons tirer les conséquences de son rapport qui est en cours de rédaction et nous allons en tirer toutes les conclusions; je pense qu'il y a beaucoup de leçons à en tirer..."

Les parlementaires apprécieront.... les salariés, eux, apprécient déjà

La publication de ce rapport a-t-elle été retardée pour ne pas nuire au bilan de Rémy Pflimlin à quelques semaines de la désignation de son successeur?

«Pression sur les effectifs des locales du Languedoc-Roussillon à Noël : Non ! »



 Dans une communication intersyndicale intitulée «Pression sur les effectifs des locales du Languedoc-Roussillon à Noël : Non ! » qui débute ainsi « Plus rien n’arrête notre direction dans sa gestion nocive des locales. Les locales excentrées de Nîmes et Perpignan sont une fois de plus sur la sellette. », le ras-le-bol des personnels est à son comble.

L’ensemble des salariés dénonce, une nouvelle fois, les méthodes de la direction de France Télé et évoque même en coulisses un vote de DÉFIANCE… la direction laissant entendre qu’elle se ficherait éperdument d’un mouvement de grève !
   
La direction qui ne sait plus ce que dialogue social signifie, n’en aurait cure. Elle a décidé de passer en force que ça plaise ou non ! « Vous ferez à 2 équipes ce que vous êtes censés faire à 3, c’est comme cela, on n’a pas le choix ! ».

Quelle est la situation ? « Après la diminution des effectifs de 7 à 6 journalistes en 2011 pour une même durée de JT. Après la diminution des éditions de 7 à 5 minutes avec diminution des effectifs pendant les vacances, voilà la nouveauté : la diminution des effectifs mais sans diminution de la durée du JT local pour les vacances de Noël! ». 

Les justifications de cette nouvelle « politique » imposée par la direction du « pôle » à la locale de Perpignan, fera l’objet d’une conférence de rédaction en présence du directeur régional de l'antenne de proximité qui devrait tenter « officiellement » d’exposer la position  de Rémy Pflimlin avant son départ. 

Cette mesure est la conséquence directe du soi-disant « manque de productivité » des locales de la chaîne France 3  qu’auraient mis en lumière » les  « résultats » donnés par leur super outil " ARGOS"».

En fin de mandature les rapports sur ceci ou sur cela pour tenter de montrer que Rémy Pflimlin aurait tenu le cap devraient se multiplier (sauf s'ils ne sont pas favorables)  … quel cap d’ailleurs puisque « l’éditorial » importe peu !

Il va sans dire que tout le personnel est contre cette proposition, justement parce que ces conditions ne tiennent pas compte de « l’éditorial ».

Non, au projet de vouloir développer des lignes éditoriales dépourvues d’ambition et centrées sur d’indigestes rediffusions de reportage.

Non, à la volonté d’enfoncer un peu plus les locales excentrées alors qu’elles sont le pilier de la proximité. Proximité tant défendue à France 3.

Non, à la volonté de transformer et pérenniser les locales comme variable d’ajustement économique.

Non, à la diminution des effectifs qui met directement en danger les équipes des locales en leur infligeant des conditions de travail clairement dégradées.

Oui, notre mission de service public est d’assurer quotidiennement une information de proximité  de qualité. Cette qualité n’est pas compatible avec la réduction d’effectifs pour une même durée de JT local. Si notre rédaction en chef défend avec nous cette même conception de la qualité des éditions, alors elle pourra compter sur ses troupes. Sinon…

Déclaration de François Hollande au dîner annuel du Conseil représentatif des Français d'outre-mer (CReFOM) concernant France Ô



A l’occasion du dîner annuel du Conseil Représentatif des Français d’Outre-Mer qui a s’est tenu à l’Hôtel de ville de Paris le 21 novembre dernier, en réponse à Victorin Lurel qui avait déclaré "Nous tenons à France Ô. Elle doit être pérennisée et réorientée", le Chef de l’État a déclaré "France Ô est une chaine qui est dédiée aux Outre-mer. En tout cas, c'était sa vocation pour que nos compatriotes de l'Hexagone puissent mieux comprendre les Outre-mer, pour que les différents territoires puissent communiquer entre eux et pour que l'on puisse aussi offrir une information aux ultramarins. Or, le constat est qu'il y a, à peu près, 15 % disons 20% des programmes qui sont véritablement ultramarins. Le Conseil supérieur de l'audiovisuel s'en est ému et je pense que, sans coût supplémentaire, nous devons faire en sorte que France Ô redevienne véritablement une chaine ultramarine avec son identité."
 
« France Ô doit donc redevenir ce qu’elle n’est plus » [depuis la nomination de Pflimlin à l’été 2010 par Nicolas Sarkozy donc, ndlr]

A la table de France Télévisions, la plupart des convives se sont levés et ont quitté la salle, emboîtant le pas à Gilles Camouilly, le directeur de la chaîne qui avait, dès son arrivée, pris la décision de supprimer toute référence à l’Outre-mer; la chaîne publique devenant la chaîne du "métissage", "des diversités" et "de toutes les cultures "....

D'où le constat de François Hollande à ce dîner qui se résume en une formule: À force de vouloir être la télévision de tout le monde, France Ô n’est plus la télévision de personne!

Aussi, pourquoi la direction du groupe a-t-elle choisi de faire mesurer l'audience de sa chaîne du canal 19 de la TNT pour s'étonner ensuite de ses faibles "résultats" comme le relevait le blog CGC Média, début octobre dans son article intitulé "France Ô: la chaîne low-cost de France Télévisions" !?

Pourquoi également et dans quel but Fabrice Lacroix, le remplaçant d'Ajdari, dans l'interview qu'il a donné à France Inter est-il allé déclarer
"Si  la ressource budgétaire qui nous est promise pour l’instant en 2015 venait encore à diminuer et bien nous aurions  une discussion avec notre actionnaire pour savoir ce qu'on fait de notre périmètre d’activité de nos missions" ?