Si lors du 1er tour, le SNPCA-CGC s’est vu conforté dans sa
représentativité en enregistrant la plus forte progression, un 2ème tour doit
avoir lieu faute de quorum.
Nous demandons à toutes et à tous cette mobilisation sans
faille en CONFIRMANT et AMPLIFIANT le formidable élan qui nous pousse.
Nul n’est besoin de distribuer aux portes de la cantine et à
la moindre occasion, un tract voire deux par jour pour que chacun comprenne
notre détermination et surtout se souvienne de toutes les actions que nous
avons menées, nous menons et nous mènerons demain pour que vive et prospère la
télé publique avec l’ensemble des collaborateurs contre celles et ceux qui
veulent n’en faire qu’un simple diffuseur.
Le SNPCA-CGC est aujourd’hui le syndicat qui OSE… Qui OSE
dire NON… qui OSE s’opposer et mène toutes les actions nécessaires à la SAUVEGARDE
de l’outil de travail et des EMPLOIS.
Tout le monde se souvient de l’action menée en Justice
jusqu’à la Cour d’Appel de Paris pour que les délais de survivance contenus
dans les Conventions collectives (3ans et demi pour les professionnels techniques
et administratifs et presque 2 ans pour les journalistes) soient respectés et
s’appliquent.
Le SNPCA-CGC est de tous les COMBATS. Chacun sait que le
SNPCA-CGC n’est pas signataire de l’accord d’entreprise (commun Journalistes/PTA)
duquel la CFDT a très justement retiré sa signature.
Loin des compromissions, loin des petits arrangements entre
« amis » et direction, le SNPCA-CGC a prouvé à de nombreuse reprises
que s’il pouvait signer ce qui va dans le bon sens, il savait aussi REFUSER de SIGNER
les textes présentés comme des de
soi-disant « avancées » mais qui ne sont en réalité que de véritables
régression sociales.
C’est le SNPCA-CGC qui dès avril 2011 déposait plainte avec
constitution de partie civile pour « favoritisme » – rejoint l’an
passé par le SNJ et la CFDT – contre ces dirigeants peu scrupuleux qui
signaient à tire-larigot et le plus souvent sans appel d’offres, des contrats
de conseils tous azimuts comme ceux signés sous Carolis et Pflimlin avec BYGMALION qui sont en cours d’instruction judiciaire
sous la coupe du juge Renaud Van Ruymbeke.
Le SNPCA-CGC encore qui a saisi le Conseil d’État mais
également la juridiction pénale pour contester l’opacité mais surtout les
irrégularités du processus de désignation à la présidence de France télé par le
CSA dont la Presse unanime s’est faite l’écho… etc…
SACHEZ DIRE NON ET ENTREZ EN RÉSISTANCE AVEC NOUS. DÉFENDEZ
VOS DROITS.
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