Rémy Pflimlin, à bout de souffle et
en bout de course perd un peu plus ses nerfs alors que l’échéance de son
remplacement se profile.
Sa
note de service du 6 mars dernier qui prétend enfermer le droit de grève dans
un carcan est la preuve qu’il n’a rien compris.
Rémy Pflimlin, sans la moindre certitude a décidé de restreindre les modalités
d'exercice du droit de grève à France Télévisions quitte à maintenir le plus grand
désordre dans l’entreprise.
Sa dernière proposition de "poursuivre le dialogue social" en faisant de "nouvelles propositions d'aménagement en matière de temps de travail" est un leurre. La direction est de toute façon contrainte de revoir l'accord collectif au vu des risques juridiques pesant sur celui-ci.
Sa dernière proposition de "poursuivre le dialogue social" en faisant de "nouvelles propositions d'aménagement en matière de temps de travail" est un leurre. La direction est de toute façon contrainte de revoir l'accord collectif au vu des risques juridiques pesant sur celui-ci.
Il a même, ces derniers jours, trouvé « approprié » d’envoyer
des huissiers dans l’entreprise pour faire constater que des salariés qui
se déclaraient en grève 59 minutes en cours de journée sans s’être déclaré préalablement
dès leur prise de service, passeraient en commission disciplinaire pour y être
sanctionné !!!
Une honte. Rémy Pflimlin, qui depuis quelques
semaines fait tout pour «éviter les salariés », n’a plus de figure... c'est à croire qu'il prend un malin plaisir à mettre de l'huile sur le feu.
En effet, alors que le "calme" (si tant est que le mot ait un sens à France Télévisions) avait tendance à revenir - de nombreux salariés espérant, suite à une réunion avec le SNPCA-CGC à laquelle participaient pour la direction Fabrice Lacroix, Thierry Thuillier, Christian Vion, Jean-Marc Philbert... l'annonce du retour de la production en interne - celle-ci décide de remplacer le seul gréviste au sein d'un service technique par un membre de l'encadrement.
En effet, alors que le "calme" (si tant est que le mot ait un sens à France Télévisions) avait tendance à revenir - de nombreux salariés espérant, suite à une réunion avec le SNPCA-CGC à laquelle participaient pour la direction Fabrice Lacroix, Thierry Thuillier, Christian Vion, Jean-Marc Philbert... l'annonce du retour de la production en interne - celle-ci décide de remplacer le seul gréviste au sein d'un service technique par un membre de l'encadrement.
Le SNPCA-CGC a choisi de mandater comme
les autres syndicats, son Conseil pour engager une procédure contre France
télévisions au TGI de Paris pour ce que le syndicat considère comme une violation
du droit de grève garanti par la Constitution et la Charte des droits
fondamentaux de l'Union Européenne.
Parallèlement, le SNPCA-CGC a déposé un préavis de grève pour la journée du 19 mars 2015 à partir de 0h00 au siège pour exiger l'arrêt immédiat des procédures disciplinaires et le respect du droit de grève sous toutes ses formes (voir ci-dessous).
Paris, le 16 mars 2015
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire